Vincent Geloso

André Pratte a peur de penser par lui-même, je ne me souviens pas la dernière fois quil n'était pas en accord avec Jean Charest.

Est-ce que Jean Charest en 2003 aurait refusé d'imposer le vote secret aux syndicats? Il évite les confrontations pour son confort, ce n'est pas honnête.

Je ne peux pas comprendre dans un milieu comme celui-là, que le vote secret ne soit pas exigé, on sait très bien qu'il y a de l'intimidation.

La pire chose que Pratte dit est : "If it ain't broke, don't fix it". Est-ce que ce n'est pas ce que disent les politiciens depuis des générations afin de ne pas s'attaquer aux problèmes? Belle excuse pour cautionner l'immobilisme. Dans le monde actuel, l'immobilisme est un recul car les autres pays avancent.

Quand tu es blogueur corporatif, tu dois fesser à gauche, à droite, au centre, tu dois fesser partout sans sens précis, sans idéologie précise, sans autre but précis que d'attirer une horde de lecteurs qui n'ont pas plus de buts mais certainement plus qu'André Pratte, ça c'est sûr.

Bref, Mario Dumont après Jean Charest ferait un excellent journaliste-éditorialiste.

Pour ce qui est de l'article en question, complètement en désaccord avec Pratte et qu'André Pratte ne s'en rende pas compte ou essaie de faire croire à je-ne-sais-qui qu'il ne voit rien, cela est très inquiétant pour notre société.

Le pseudo-droitiste Pratte s'écrase devant des fantômes, imaginez si le gars avait eu ne serait-ce qu'une once de vraie confrontation dans sa vie comment il aurait chié des tacks. Probablement qu'il avait une faveur à demander à son union qui lui a échangé pour quelques bons mots lancé à leur endroit, tsé la confrérie syndicale journalistique, pourquoi Pratte ou Dubuc y ferait exception, il faut aller chercher le meilleur des 2 mondes en espérant éviter les 2 pires.